(Ed. du Rouergue, 2011, coll. doAdo)
Maxime - 17 ans - grand amateur de rock indé et adorateur de Sherlock Holmes aux tendances asociales, a une conception des vacances d’été bien éloignée du vulgaire cliché « sea, sexe and sun ». Pour lui, les vacances idéales sont à base de chat interminable avec les deux seuls ados qui trouvent grâce à ses yeux et de films matés en toute illégalité.
Pour cela, rien de plus simple : il suffit de persuader ses parents que, non, il n’ira pas crapahuter sur les chemins de l’Île de Beauté en leur compagnie car il préfère rendre visite à sa grand-mère adorée. Il faut dire que chez mamie Lisette, mis à part les crêpes et les tartines de confiture, il y a Internet et sans restriction !
Oui mais voilà : les événements se déroulent rarement comme on l’espère et c’est au moment où ses parents disparaissent dans le monde merveilleux du GR20 que mamie Lisette s’effondre dans les bocaux de cerise.
Livré à lui-même, Maxime affrontera de nombreuses péripéties sans perdre un instant son humour au vitriol.
Pour garder le moral : une playlist digne des Eurockéennes et un certain pokémon…
Les références pleuvent, le lecteur est malmené et s’en réjoui, comme on s’esclaffe lorsque le wagon d’un grand 8 particulièrement périlleux nous ballotte en tout sens. Au terminus on s’étonne : « Quoi ? C’est déjà fini ? »
Pour cela, rien de plus simple : il suffit de persuader ses parents que, non, il n’ira pas crapahuter sur les chemins de l’Île de Beauté en leur compagnie car il préfère rendre visite à sa grand-mère adorée. Il faut dire que chez mamie Lisette, mis à part les crêpes et les tartines de confiture, il y a Internet et sans restriction !
Oui mais voilà : les événements se déroulent rarement comme on l’espère et c’est au moment où ses parents disparaissent dans le monde merveilleux du GR20 que mamie Lisette s’effondre dans les bocaux de cerise.
Livré à lui-même, Maxime affrontera de nombreuses péripéties sans perdre un instant son humour au vitriol.
Pour garder le moral : une playlist digne des Eurockéennes et un certain pokémon…
Les références pleuvent, le lecteur est malmené et s’en réjoui, comme on s’esclaffe lorsque le wagon d’un grand 8 particulièrement périlleux nous ballotte en tout sens. Au terminus on s’étonne : « Quoi ? C’est déjà fini ? »
Rédacteur : Estelle L. (Couronneries)
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